Roselle Bailey (Etats-Unis)


Peacewomen

Ce n’est que nous avons vécu en Irak ai-je commencé à prendre le mon patrimoine au sérieux. C’est alors que j’ai commencé à rêver la maison et la langue Hawai’ian. Cela a redirectionné ma vie ou non?

La vie de travail de Roselle Bailey est d’enseigner et de préserver la culture Hawai’ian. Elle a servi comme gardien de l’un des plus importants sites de hula praticiens et a contribué à lancer l’UIP Ka Kukui programme de formation sur le leadership du collège de la communauté Maui. Roselle a également fondé l’Halau Ka ‘Na Imi’ auao o Hawai’i Nei, dont l’objectif est à la fois de maintenir la culture et des traditions des Hawaiiens et de guérir les divisions ethniques et culturelles entre les peuples et de toutes les cultures.

A propos de dix ans, un membre de notre groupe hula et cher ami Keani est mort. Roselle et moi avons été parmi les centaines de personnes à son enterrement. C’était une triste et douloureuse chose de perdre un ami cher. J’étais mal temps de celui-ci. Je me suis retrouvée à côté de Roselle dans la grande foule, a estimé sa présence physique, sa force et son soutien. Elle a vu comment je luttais, et m’a dit: « Carol, nous devons le faire pour Keani ». Avec cela, elle a serré ma main et a commencé à chanter. Roselle simple phrase et sa puissante chants ont été un rappel de la belle ami j’avais perdu, et que dire au revoir à son est la façon que je pouvais son honneur.  » (Carol Pescaia). Il ya eu le moment où nous étions sur le cargo grec Lydia allant de Beyrouth pour Pirée, en Grèce, en passant par Port Saïd et Alexandrie. Beaucoup de Grecs sont expulsés de l’Égypte à l’époque. Les ponts de Lydia ont été accablé par des familles grecques et de leurs effets personnels. C’est dans un sentiment doux-amer et comme une grande fête de famille. Quand ils ont découvert que j’étais Hawaiienne, ils m’ont demandé de faire le «hula-hula ». Après plusieurs danses, ils l’ont fait leurs danses pour moi de montrer leur appréciation. Bientôt, je me suis retrouvée balayer en place dans leur cercle d’essayer de faire bonne leurs danses. Ces funs! À ce jour, chaque fois que nous entendons la musique grecque, les images et la chaleur des gens à bord du Lydia sont revécu. « (Roselle Bailey).

Le temps passé, insufflé dans la vie, est hula. Il est le aloha (amour), le« EHA (douleur), le pono (espoir), et la hu’eu (humour) d’un peuple. Il est de la survie ce peuple. Il est le cœur de Hawaii. Il est l’âme de son peuple. « 

Ka ‘Na Imi’ auao O Hawai’i Nei

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